Rencontre des professeurs Jean Luc Carpentier et Alain Lagarder. Association de l’ingénierie et de l
La mise en place du cœur artificiel s’est d’abord faite suite à des essais par le professeur Carpentier pour reproduire la contraction cardiaque par de nombreux et complexes algorithmes avec comme modèle de le cœur humain.
Développé à partir de nouveaux mode de fabrication brevetés, toutes les surfaces en contact avec le sang sont dites hémocompatibles, mieux tolérés par l’organisme.
L’hémocompatibilité et l’architecture particulière faite pour éviter les turbulences vont empêcher la formation de caillots et les réactions de rejets de la prothèse.
Directeur général adjoint Coulombier : La structure microscopique (de la membrane étanche) est une structure microporeuse dans laquelle des protéines venant du sang vont venir s’ensemencer. Quand le tissu est ensemencé, il est reconnu comme un tissu ami.
Ces bio prothèses sont faites à partir de péricardes de veau. Les valves (qui sont aujourd’hui déjà implantées) sont faites à partir de péricardes de veau donc de tissus biologiques qui permettent les feuillets de la valve
A partir de ce système, il y a sur la partie extérieure la couche péricardique et intérieur la partie polio éthane.
La qualité du cœur artificiel CARMAT devrait être bien meilleure que les autres essais grâce à la qualités des matériaux en contact avec le sang.
Une batterie de capteurs permet au cœur artificiel de s’adapter aux besoins physiologiques de l’homme à Cette batterie répond au besoin en direct du patient en fonction de sa position (assis, couché, debout) et de son activité (repos ou effort physique)
Réalisation d’une régulation comme le cœur naturel, on mesure plusieurs informations de pression, de position du patient (grâce à des inclinomètres dedans).L’ensemble de ces informations vont permettre de changer la fréquence ou le débattement de la membrane. Ce cœur peut bénéficier de 12h d’autonomie grâce à ses piles à combustibles